วันพุธที่ 23 มกราคม พ.ศ. 2551

Calmar


Calmar




Le calmar ou calamar est un
céphalopode décapode marin
apparenté à la
seiche. Il est comestible et aussi appelé selon
les régions
encornet, chipiron (Pays basque) ou supion dans le Midi.
Souvent ces appellations gastronomiques locales ne distinguent
pas les seiches des calmars.


À Marseille on pêche le calmar en particulier avec la technique
du
lamparo car il est attiré par la lumière. Des concentrations
très importantes de cet animal se produisent périodiquement
en certains endroits, leur pêche est alors plutôt un ramassage.


Parmi les 350 espèces de calmar existantes, certaines vivent
à proximité des côtes, presque en surface. D'autres, au contraire,
séjournent à de grandes profondeurs. Ils ont un corps cylindrique et
profilé avec deux nageoires triangulaires situées à l'arrière du corps.


Ils sont dotés de huit bras et de deux tentacules pourvues de
grandes ventouses. Leur couleur est variable et changeante
suivant leur humeur. Leur corps contient un os cartilagineux :
la plume. Il est souvent blanc mais moucheté de rouge, de brun,
de rose ou de pourpre. Il mesure de 8 à 50 cm de long,
pas plus de 30 cm en
Méditerranée. La taille des calmars peut
atteindre plusieurs mètres dans les grands fonds, on parle
alors de
calmar géant. Ils ont toujours dix tentacules.


Le Japon est le plus gros consommateur de calmar,
c'est aussi au sud de ce pays, près de l'archipel Ogasawara
(Pacifique Nord) que deux scientifiques, Kubodera et Mori,
sont parvenus à filmer en septembre 2004 un calmar géant
à 900 mètres de profondeur. Ils ont publié dans la revue
"Proceedings of the Royal Society" le récit de leur découverte
qui ne devait rien au hasard: les cachalots étant les principaux
prédateurs de cette espèce nommée Architeuthis,
les deux chercheurs japonais les ont "espionnés" à l'aide de capteurs
et établi que les cétacés chassaient de jour entre 800
et 1000 mètres de profondeur. Ils ont alors tendu des lignes verticales
lestées et équipées d'une caméra numérique, ainsi que des
appâts et des leurres olfactifs
.


Un calamar géant de 10 m et 450 kg de la
famille
des
Mesonychoteuthis hamiltonia été capturé en février 2007
en
mer de Ross près de l'Antarctique par des pêcheurs néo-zélandais
à 1800 m de profondeur
.

วันอังคารที่ 15 มกราคม พ.ศ. 2551

Butterfly


A butterfly is an insect of the order Lepidoptera. Like all Lepidoptera, butterflies are notable for their unusual life cycle with a larval caterpillar stage, an inactive pupal stage, and a spectacular metamorphosis into a familiar and colourful winged adult form. Most species are day-flying so they regularly attract attention. The diverse patterns formed by their brightly coloured wings and their erratic yet graceful flight have made butterfly watching a fairly popular hobby.

Butterflies comprise the true butterflies (superfamily Papilionoidea), the skippers (Superfamily Hesperioidea) and the moth-butterflies (Superfamily Hedyloidea). Butterflies exhibit polymorphism, mimicry and aposematism. Some are known to migrate over large distances. Some butterflies have evolved symbiotic and parasitic relationships with social insects such as ants. Butterflies are important economically as one of the major agents of pollination. In addition, a number of species are pests, because they can damage domestic crops and trees.

Culturally, butterflies are a popular motif in the visual and literary arts

Origin and distribution
Butterflies are nested within the evolutionary tree of moths. Their origins may date back to the Cretaceous Period, ending 65 million years ago.[1] Unfortunately, the fossil record is very limited. The oldest known fossil is an unnamed possible skipper butterfly from the Upper Palaeocene (around 57 million year old) of Fur, Denmark [2]. One of the most beautifully preserved is a Metalmark butterfly (Voltinia dramba) from 25 million year old Dominican amber[3].

Butterflies are today distributed throughout the world except in the very cold and arid regions. There are an estimated 17,500 species of butterflies (Papilionoidea) out of about 180,000 species of Lepidoptera

Classification
Presently butterflies are classified in three superfamilies, Hedyloidea, consisting of the 'American moth-butterflies', Hesperioidea, consisting of the 'skippers' and Papilionoidea or 'true butterflies'. The last two superfamilies are probably sister taxa, so the butterflies collectively are thought to constitute a natural group or clade.

The scope of the term butterfly depends on how far the concept is extended. Currently, most experts include the superfamilies Hedyloidea (the American moth-butterflies), Hesperioidea (the skippers) and Papilionoidea (the so-called 'true' butterflies). This concept of butterflies including the Hedyloidea is a recently expanded one, but it makes the group a natural clade, the Rhopalocera.[6]


Butterfly families
The five families of true butterflies usually recognized in the Papilionoidea are:-

Family Papilionidae, the Swallowtails, Apollos and Birdwings
Family Pieridae, the Whites and Yellows
Family Lycaenidae, the Blues and Coppers, also called the Gossamer-Winged Butterflies
Family Riodinidae, the Metalmark butterflies
Family Nymphalidae, the Brush-footed butterflies
The superfamily Hesperioidea comprises one family only, albeit a large one, the skippers of family Hesperiidae, whereas the superfamily Hedyloidea also consists of a single family Hedylidae with about 40 species.[7]



Taxonomic issues
A study combining morphological and molecular data concluded that Hesperiidae, Papilionidae, Pieridae, Lycaenidae and Riodinidae could all be strongly supported as monophyletic groups, but the monophyletic status of Nymphalidae is uncertain. Lycaenidae and Riodinidae were confirmed as sister taxa, and Papilionidae as the outgroup to the rest of the true butterflies, but the location of Pieridae within the pattern of descent was unclear, with different lines of evidence suggesting different conclusions. The data suggested that the Hedyloidea are indeed more closely related to the butterflies than to other moths.[8]

Some older classifications recognize additional families, for example Danaidae, Heliconiidae, Libytheidae and Satyridae, but modern classifications treat these as subfamilies within the Nymphalidae.


Butterflies and moths
Main article: Differences between butterflies and moths
The dichotomous classification of lepidopterans into butterflies and moths is one that is popular but not used in taxonomy. The folk groups of butterflies and moths can be distinguished using several features but there are exceptions to most of these rules

วันจันทร์ที่ 7 มกราคม พ.ศ. 2551

Joaillerie


Les qualités de certains diamants (comme leur pureté, leur taille importante et leur couleur) font du diamant, la plus célèbre des pierres précieuses en joaillerie.
La beauté de son brillant est due au fait qu’il possède un haut
indice de réfraction de la lumière et un grand pouvoir dispersif : en pénétrant, les rayons de lumière sont réfléchis à l’intérieur de la pierre à l’infini et la lumière blanche se disperse, retourne à l’intérieur transformée en un éventail de couleurs. Les diamants (comme les gouttes d’eau) fonctionnent comme des prismes en freinant, plus ou moins en fonction des longueurs d'onde (violette au maximum, rouge au minimum) de façon que les couleurs soient dispersées sous forme d’arc-en-ciel.
Mais tous les diamants ne sont pas utilisés en bijouterie. Tout défaut peut leur ôter de la valeur et ils sont alors employés pour des applications industrielles. Généralement ceci arrive avec ceux qui présentent des bulles internes ou des particules étrangères, ou s’ils sont de forme irrégulière ou pauvrement colorés.

Taille

Diamants taillés
La taille des diamants s'effectue surtout à
Anvers (Belgique), à Tel-Aviv (Israël) et au Gujarat (Inde) par la communauté jaïn. En Thaïlande, ce sont les pierres précieuses (rubis et saphirs) qui sont taillées.
Le degré de la beauté de l'arc-en-ciel du diamant dépend, en grande partie, de la sculpture et du poli de la pierre. Bien que naturellement les diamants aient leurs éclats propres, ceux-ci peuvent être améliorés et multipliés par la taille experte d'un lapidaire.
Du fait de son extrême dureté, le diamant ne peut être usiné que par un autre diamant, c'est pourquoi la sculpture et le poli de la pierre en sont les éléments les plus importants.
Avant de le tailler, on examine la gemme pour déterminer ses plans de clivage. On trace ensuite sur elle une ligne qui marque le périmètre de ces plans. Sur celui-ci, on fait une petite cannelure avec une espèce de bois qui porte dans son extrémité un diamant. Par cette ouverture, on introduit une fine lame d'acier, on donne un coup sec et la pierre se divise en deux.
Il existe de nombreuses façons de tailler le diamant, mais la plus connue, celle qui met le mieux en valeur la beauté du diamant et qui est de ce fait la plus utilisée, est certainement la taille « brillant ». Cette technique perfectionnée permet de transformer les pierres brutes en
véritables joyaux de lumière, en faisant apparaître 58 facettes (57 si l'on ne tient pas compte de la collette) : 33 sur la couronne et 24 sur la culasse, régulières et de tailles définies précisément, à la surface du diamant.
En effet, si les notions de pureté et de couleur paraissent familières, les proportions de taille le sont plus rarement. Pourtant, ces dernières sont un facteur de qualité essentiel. Elles conditionnent directement le rendu de brillance et le « feu » du dia­mant. À couleur identique, un dia­mant possédant de bonnes proportions sera bien plus éclatant qu'un diamant pur incorrectement taillé.
Depuis l'apparition de la taille Tolkovskyen (1919), les diamantaires n'ont cessé de chercher à optimiser le rendu de brillance du diamant. De toutes les tailles du diamant, c'est certainement la forme ronde brillant qui a été la plus étudiée et qui est la plus aboutie ; aujourd'hui, les proportions appliquées à cette taille résultent directement de la compréhension des lois optiques du matériau et de la maîtrise de la tech­nique de taille et du polissage.
Au Japon est très apprécié la taille flèche et cœurs, nommée ainsi à cause des formes des jeux de lumière.
Les apprentis tailleurs sont aujourd'hui très rares, la taille étant de plus en plus réalisé par des lasers à l'aide de systèmes informatiques